Un homme récitait la sourate : « La caverne » et il y avait auprès de lui un cheval attaché par deux cordes.

Un homme récitait la sourate : « La caverne » et il y avait auprès de lui un cheval attaché par deux cordes.

Al-Barâ' ibn 'Âzib (qu'Allah l'agrée, lui et son père) a dit : « Un homme récitait la sourate : « La caverne » et il y avait auprès de lui un cheval attaché par deux cordes. Un nuage l'enveloppa, se mit à tourner et à se rapprocher de lui. Son cheval ne cessa de s'en écarter. Au matin, il alla trouver le Prophète (sur lui la paix et le salut) et lui raconta l'incident. Celui-ci déclara : « C'est la sérénité ! Elle est descendue pour le Coran ! »

[Authentique] [Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim]

Explanation

Al-Barâ' ibn 'Âzib (qu'Allah l'agrée, lui et son père) a raconté une histoire extraordinaire qui se déroula à l'époque du Prophète (sur lui la paix et le salut). Un homme récitait la sourate : « La caverne » [Coran : 18] auprès d'un cheval attaché par deux cordes. Une sorte de nuage l'enveloppa alors et se mit à se rapprocher de lui. Son cheval eut peur et ne cessa de s'en écarter. Au matin, l'homme alla trouver le Prophète (sur lui la paix et le salut) et lui raconta l'incident. Celui-ci lui expliqua que cette sérénité était descendue suite à la récitation du Coran comme prodige accordé à ce Compagnon et aussi en témoignage de la part d'Allah, Exalté soit-Il, que Sa Parole est vérité. De plus, l'homme concerné dans cette histoire était Usayd ibn Ḥuḍayr (qu'Allah l'agrée).

Categories

Les mérites des sourates et des versets, Le mérite des compagnons (qu'Allah les agrée)